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Message  ganem Lun 7 Déc - 17:33

ganem
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Message  ganem Lun 7 Déc - 17:48

Islam religion d'Amour de Tolérance et de Paix No-democratie-we-want-just-islam

Démocratiser les pays musulmans, c’est les sortir de l’islam
ganem
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Message  ganem Mar 8 Déc - 11:47

http://www.jeuneafrique.com/mag/284497/societe/jesus-lislam-arte-etait-coran/

« Jésus et l’islam », sur Arte : il était une fois le Coran
Publié le 08 décembre 2015 à 08h53 — Mis à jour le 08 décembre 2015 à 09h03
Par Renaud de Rochebrune

La chaîne franco-allemande Arte propose une série documentaire sur le livre saint, diffusée les 8, 9 et 10 décembre. L'occasion d'interroger les origines de l'islam et son rapport à la chrétienté. Instructif.

Peut-on lire le Coran en le considérant comme un livre comme un autre ? En s’appuyant sur une série d’entretiens avec des spécialistes de l’islam parmi les plus respectés, Jérôme Prieur et Gérard Mordillat entendent se livrer, dans une série de documentaires et dans un ouvrage publié en même temps, à une entreprise d’une telle audace. Il y a une vingtaine d’années, ils avaient déjà proposé une approche des origines du christianisme par la critique textuelle et historique des évangiles avec la série Corpus Christi diffusée sur Arte avec un grand succès (plusieurs millions de spectateurs !). Ils font subir aujourd’hui le même « traitement » au Coran pour se pencher sur l’apparition de l’islam et son contexte.

Pour le moins ambitieux, leur propos n’est pourtant pas de faire le tour d’un tel sujet, ce qui serait impossible voire désinvolte. Aussi ont-ils décidé de centrer leur enquête sur l’exploration de la figure de Jésus, l’avant-dernier prophète dans le Coran. Prieur et Mordillat se sont lancés dans ce projet après avoir remarqué, à leur étonnement, la présence éminente dans le livre saint du fondateur du christianisme, considéré comme un être exceptionnel avec un caractère surnaturel (né d’une vierge, parle dès sa naissance, ne meurt pas). Cité directement plus de dix fois, avec des « titres considérables » (le Messie, le fils de Marie, le Messager de Dieu, etc.), il est certes beaucoup moins souvent « convoqué » que Moïse mais plus que la plupart des autres « personnages » évoqués, à commencer par… Mohammed lui-même. Au-delà de ses quatre mentions, ce dernier est malgré tout omniprésent dans le texte, si on le considère comme celui qui le « dit » après qu’il lui a été « révélé ».
À lire aussi :
Rachid Benzine : « Pour faire face à Daesh, il est temps de nettoyer l’imaginaire islamique »

Le « portrait » de Jésus par l’Islam

Par ailleurs, pour ne pas se disperser, les auteurs de Jésus et l’islam ont décidé de focaliser leurs entretiens filmés avec vingt-six chercheurs de diverses origines – la majorité travaille dans les pays anglo-saxons ou en Allemagne, un tiers est « de tradition musulmane » – sur deux versets du Coran, ceux de la sourate IV qui concernent la crucifixion de Jésus.

Ces deux versets pouvaient fournir, selon eux, « le meilleur fil directeur » pour s’interroger sur les questions que pose le texte du Coran d’un point de vue tant théologique que littéraire et historique. Car ils évoquent une scène connue aussi bien des chrétiens que des musulmans mais d’une façon énigmatique. De fait, ces textes incriminent les Juifs dans la mort de Jésus mais ils disent aussi que leur culpabilité, si elle est envisageable, n’est peut-être qu’« apparente » tout comme la crucifixion de Jésus elle-même.

   Une occasion également d’évoquer des hypothèses sur les « sources » du Coran, dont la version écrite, on le sait, a mis du temps à être fixée

Or, et c’est là où l’on voit à quoi mène la « méthode » Prieur-Mordillat : il semble historiquement établi – ce qui contredit également la version colportée par les chrétiens pendant des siècles – que les autorités d’occupation de l’époque, les Romains, avaient le « privilège » des exécutions en Judée et qu’eux seuls ont pu crucifier Jésus, si l’on admet qu’il le fut effectivement.

De quoi s’interroger sur le « portrait » de Jésus tel qu’il est appréhendé par l’islam et sur les rapports entre les trois religions monothéistes, mais aussi de quoi chercher les raisons qu’on a pu avoir de soutenir telle ou telle thèse sur une question si cruciale selon que l’on était juif, chrétien ou musulman. Une occasion également d’évoquer des hypothèses sur les « sources » du Coran, dont la version écrite, on le sait, a mis du temps à être fixée. Ce qui conduit, au passage, à présenter le caravanier Mohammed comme sinon un érudit du moins un connaisseur des grands textes monothéistes.

Qui a écrit le Coran ?

S’adressant au public éclairé, Prieur et Mordillat n’éludent aucune des questions qui peuvent fâcher. C’est ce qui fait précisément le prix de leur travail, qui ne cherche jamais à aller vers le spectaculaire et émet surtout des hypothèses. Les chercheurs interrogés ont parfois quelque mal à s’exprimer pourtant quand le thème traité les met dans une position embarrassante. Se demander « qui a écrit le Coran » ne choque pas tous les intervenants mais incite l’un d’eux, Hichem Djaït, à affirmer que « la question n’est pas pertinente » alors que cela conduit d’autres, plus nombreux, à délivrer un discours subtil.

   Les réponses ou les non-réponses des chercheurs comme des auteurs conduisent à ruiner assurément les positions intégristes faisant fi de l’histoire et de la science

Notamment en répondant comme le fait Suleiman Ali Mourad qu’« en tant que croyant on doit penser que c’est Dieu qui a dicté le Coran mais en tant que chercheur on ne peut pas s’arrêter là ». Ou en considérant, comme Abdelmajid Charfi, que le texte est certes « révélé » mais qu’il s’adresse aux hommes d’une certaine époque. De surcroît, aurait-il pu ajouter, à un moment où l’on pensait que la fin des temps était pour bientôt. Dans tous les cas, en fin de compte, les réponses ou les non-réponses des chercheurs comme des auteurs conduisent à ruiner assurément les positions intégristes faisant fi de l’histoire et de la science.

Jésus et l’islam, de Gérard Mordillat et Jérôme Prieur, à voir sur Arte les 8, 9 et 10 décembre
Renaud de Rochebrune

« Jésus et l’islam », sur Arte : il était une fois le Coran
Publié le 08 décembre 2015 à 08h53 — Mis à jour le 08 décembre 2015 à 09h03
Par Renaud de Rochebrune

La chaîne franco-allemande Arte propose une série documentaire sur le livre saint, diffusée les 8, 9 et 10 décembre. L'occasion d'interroger les origines de l'islam et son rapport à la chrétienté. Instructif.

Peut-on lire le Coran en le considérant comme un livre comme un autre ? En s’appuyant sur une série d’entretiens avec des spécialistes de l’islam parmi les plus respectés, Jérôme Prieur et Gérard Mordillat entendent se livrer, dans une série de documentaires et dans un ouvrage publié en même temps, à une entreprise d’une telle audace. Il y a une vingtaine d’années, ils avaient déjà proposé une approche des origines du christianisme par la critique textuelle et historique des évangiles avec la série Corpus Christi diffusée sur Arte avec un grand succès (plusieurs millions de spectateurs !). Ils font subir aujourd’hui le même « traitement » au Coran pour se pencher sur l’apparition de l’islam et son contexte.

Pour le moins ambitieux, leur propos n’est pourtant pas de faire le tour d’un tel sujet, ce qui serait impossible voire désinvolte. Aussi ont-ils décidé de centrer leur enquête sur l’exploration de la figure de Jésus, l’avant-dernier prophète dans le Coran. Prieur et Mordillat se sont lancés dans ce projet après avoir remarqué, à leur étonnement, la présence éminente dans le livre saint du fondateur du christianisme, considéré comme un être exceptionnel avec un caractère surnaturel (né d’une vierge, parle dès sa naissance, ne meurt pas). Cité directement plus de dix fois, avec des « titres considérables » (le Messie, le fils de Marie, le Messager de Dieu, etc.), il est certes beaucoup moins souvent « convoqué » que Moïse mais plus que la plupart des autres « personnages » évoqués, à commencer par… Mohammed lui-même. Au-delà de ses quatre mentions, ce dernier est malgré tout omniprésent dans le texte, si on le considère comme celui qui le « dit » après qu’il lui a été « révélé ».
À lire aussi :
Rachid Benzine : « Pour faire face à Daesh, il est temps de nettoyer l’imaginaire islamique »

Le « portrait » de Jésus par l’Islam

Par ailleurs, pour ne pas se disperser, les auteurs de Jésus et l’islam ont décidé de focaliser leurs entretiens filmés avec vingt-six chercheurs de diverses origines – la majorité travaille dans les pays anglo-saxons ou en Allemagne, un tiers est « de tradition musulmane » – sur deux versets du Coran, ceux de la sourate IV qui concernent la crucifixion de Jésus.

Ces deux versets pouvaient fournir, selon eux, « le meilleur fil directeur » pour s’interroger sur les questions que pose le texte du Coran d’un point de vue tant théologique que littéraire et historique. Car ils évoquent une scène connue aussi bien des chrétiens que des musulmans mais d’une façon énigmatique. De fait, ces textes incriminent les Juifs dans la mort de Jésus mais ils disent aussi que leur culpabilité, si elle est envisageable, n’est peut-être qu’« apparente » tout comme la crucifixion de Jésus elle-même.

   Une occasion également d’évoquer des hypothèses sur les « sources » du Coran, dont la version écrite, on le sait, a mis du temps à être fixée

Or, et c’est là où l’on voit à quoi mène la « méthode » Prieur-Mordillat : il semble historiquement établi – ce qui contredit également la version colportée par les chrétiens pendant des siècles – que les autorités d’occupation de l’époque, les Romains, avaient le « privilège » des exécutions en Judée et qu’eux seuls ont pu crucifier Jésus, si l’on admet qu’il le fut effectivement.

De quoi s’interroger sur le « portrait » de Jésus tel qu’il est appréhendé par l’islam et sur les rapports entre les trois religions monothéistes, mais aussi de quoi chercher les raisons qu’on a pu avoir de soutenir telle ou telle thèse sur une question si cruciale selon que l’on était juif, chrétien ou musulman. Une occasion également d’évoquer des hypothèses sur les « sources » du Coran, dont la version écrite, on le sait, a mis du temps à être fixée. Ce qui conduit, au passage, à présenter le caravanier Mohammed comme sinon un érudit du moins un connaisseur des grands textes monothéistes.

Qui a écrit le Coran ?

S’adressant au public éclairé, Prieur et Mordillat n’éludent aucune des questions qui peuvent fâcher. C’est ce qui fait précisément le prix de leur travail, qui ne cherche jamais à aller vers le spectaculaire et émet surtout des hypothèses. Les chercheurs interrogés ont parfois quelque mal à s’exprimer pourtant quand le thème traité les met dans une position embarrassante. Se demander « qui a écrit le Coran » ne choque pas tous les intervenants mais incite l’un d’eux, Hichem Djaït, à affirmer que « la question n’est pas pertinente » alors que cela conduit d’autres, plus nombreux, à délivrer un discours subtil.

   Les réponses ou les non-réponses des chercheurs comme des auteurs conduisent à ruiner assurément les positions intégristes faisant fi de l’histoire et de la science

Notamment en répondant comme le fait Suleiman Ali Mourad qu’« en tant que croyant on doit penser que c’est Dieu qui a dicté le Coran mais en tant que chercheur on ne peut pas s’arrêter là ». Ou en considérant, comme Abdelmajid Charfi, que le texte est certes « révélé » mais qu’il s’adresse aux hommes d’une certaine époque. De surcroît, aurait-il pu ajouter, à un moment où l’on pensait que la fin des temps était pour bientôt. Dans tous les cas, en fin de compte, les réponses ou les non-réponses des chercheurs comme des auteurs conduisent à ruiner assurément les positions intégristes faisant fi de l’histoire et de la science.

Jésus et l’islam, de Gérard Mordillat et Jérôme Prieur, à voir sur Arte les 8, 9 et 10 décembre
Renaud de Rochebrune
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Message  ganem Jeu 10 Déc - 11:12

Jésus et l'islam

Pourquoi Jésus occupe-t-il une place exceptionnelle dans le Coran ? À
partir de cette question, les auteurs de "Corpus Christi" enquêtent
sur les origines et la genèse de l’islam auprès de vingt-six
chercheurs du monde entier. À découvrir également, une sélection de
documentaires autour de l’islam et du christianisme, disponibles
gratuitement en streaming du 8 décembre 2015 au 7 février 2016.

http://www.arte.tv/magazine/jesusetlislam/fr


Jésus et l’islam (1/7) - ARTE



Pourquoi Jésus occupe-t-il une place exceptionnelle dans le Coran ? À
partir de cette question, les auteurs de "Corpus Christi" enquêtent
sur les origines et la genèse de l’islam auprès de vingt-six
chercheurs du monde entier.

Jésus, figure fondatrice du christianisme, est aussi un personnage
exceptionnel dans le Coran. Pourquoi ? Comment ? Les auteurs des
séries documentaires Corpus Christi, L’origine du christianisme et
L’Apocalypse mènent l’enquête auprès de vingt-six des plus grands
spécialistes mondiaux, y compris des chercheurs de tradition musulmane
: des historiens des débuts de l’islam, des philologues, des
épigraphistes, des historiens du christianisme oriental, des
historiens du judaïsme rabbinique et des spécialistes de l’histoire du
Coran. Les sept épisodes prennent pour point de départ une lecture
minutieuse de tous les termes de deux versets de la sourate IV du
Coran, évoquant à leur manière la crucifixion de Jésus "en apparence",
avant d’ouvrir peu à peu la discussion à toutes les questions que pose
le texte, tant dans ses dimensions théologiques que littéraires et
historiques. C’est au carrefour des trois formes du monothéisme, dans
la continuité du judaïsme de Moïse et du judéo-christianisme de Jésus,
que nous mène cette enquête qui cherche à reconstituer l’émergence de
l’islam dans une région païenne, très marquée pourtant par les
influences bibliques et la proximité des églises syriaques.

(1/7) La crucifixion selon le Coran

Dans la sourate IV, versets 157 et 158, le Coran relate la crucifixion
de Jésus de manière très différente de la tradition chrétienne. Jésus
y est crucifié "en apparence". Ceux qui ont assisté à la scène
auraient-ils été victimes d’une illusion ? Quelqu’un d’autre aurait-il
été crucifié à sa place ? Jésus est-il vraiment mort sur la croix ?

Jésus et l’islam (2/7) - ARTE




Pourquoi Jésus occupe-t-il une place exceptionnelle dans le Coran ?
Les auteurs de "Corpus Christi" enquêtent sur les origines et la
genèse de l’islam. Deuxième volet : d’après le Coran, "les gens du
Livre" (en l’occurrence, les juifs) revendiquent la mort de Jésus.
Contrairement à l’Histoire, ils affirment qu’ils l’auraient crucifié.
Pourquoi cette invraisemblance ?

Jésus, figure fondatrice du christianisme, est aussi un personnage
exceptionnel dans le Coran. Pourquoi ? Comment ? Les auteurs des
séries documentaires Corpus Christi, L’origine du christianisme et
L’Apocalypse mènent l’enquête auprès de vingt-six des plus grands
spécialistes mondiaux, y compris des chercheurs de tradition musulmane
: des historiens des débuts de l’islam, des philologues, des
épigraphistes, des historiens du christianisme oriental, des
historiens du judaïsme rabbinique et des spécialistes de l’histoire du
Coran. Les sept épisodes prennent pour point de départ une lecture
minutieuse de tous les termes de deux versets de la sourate IV du
Coran, évoquant à leur manière la crucifixion de Jésus “en apparence”,
avant d’ouvrir peu à peu la discussion à toutes les questions que pose
le texte, dans ses dimensions tant théologiques que littéraires et
historiques. C’est au carrefour des trois religions monothéistes, dans
la continuité du judaïsme de Moïse et du judéo-christianisme de Jésus,
que nous mène cette enquête qui cherche à reconstituer l’émergence de
l’islam dans une région païenne, très marquée pourtant par les
influences bibliques et la proximité des églises syriaques.

(2/7) Les gens du Livre

D’après la sourate IV du Coran, "les gens du Livre" – en l’occurrence,
dans le contexte, les juifs – revendiquent la mort de Jésus.
Contrairement à l’Histoire, ils affirment qu’ils l’auraient crucifié.
Pourquoi cette invraisemblance ? Pourquoi cette auto-accusation ? Et
pourquoi le Coran polémique-t-il autant avec les juifs d’Arabie, alors
qu’il se montre fidèle à la tradition biblique ?



(France, 2012, 51mn) ARTE F[/quote]

Jésus et l’islam (3/7) - ARTE




Pourquoi Jésus occupe-t-il une place exceptionnelle dans le Coran ? À
partir de cette question, les auteurs de "Corpus Christi" enquêtent
sur les origines et la genèse de l’islam. Troisième volet : le Coran
accorde une place éminente à Marie, la seule femme dont il cite le
nom. Pourquoi Jésus est-il toujours présenté comme "fils de Marie" ?

Jésus, figure fondatrice du christianisme, est aussi un personnage
exceptionnel dans le Coran. Pourquoi ? Comment ? Les auteurs des
séries documentaires Corpus Christi, L’origine du christianisme et
L’Apocalypse mènent l’enquête auprès de vingt-six des plus grands
spécialistes mondiaux, y compris des chercheurs de tradition musulmane
: des historiens des débuts de l’islam, des philologues, des
épigraphistes, des historiens du christianisme oriental, des
historiens du judaïsme rabbinique et des spécialistes de l’histoire du
Coran. Les sept épisodes prennent pour point de départ une lecture
minutieuse de tous les termes de deux versets de la sourate IV du
Coran, évoquant à leur manière la crucifixion de Jésus “en apparence”,
avant d’ouvrir peu à peu la discussion à toutes les questions que pose
le texte, dans ses dimensions tant théologiques que littéraires et
historiques. C’est au carrefour des trois religions monothéistes, dans
la continuité du judaïsme de Moïse et du judéo-christianisme de Jésus,
que nous mène cette enquête qui cherche à reconstituer l’émergence de
l’islam dans une région païenne, très marquée pourtant par les
influences bibliques et la proximité des églises syriaques.

(3/7) Fils de Marie

Le Coran accorde une place éminente à Marie, la seule femme dont il
cite le nom. Pourquoi Jésus est-il toujours présenté comme "fils de
Marie" ? Quelles sont les implications de cette expression, qui semble
relayer "la terrible calomnie" dont Marie aurait été l’objet ?
Pourquoi passe-t-elle pour être la sœur d’Aaron et de Moïse, alors
qu’un millénaire les sépare ?

(France, 2014, 51mn) ARTE F

====================

Jésus et l’islam (4/7) - ARTE



Pourquoi Jésus occupe-t-il une place exceptionnelle dans le Coran ?
Enquête sur les origines et la genèse de l’islam. Quatrième volet :
pourquoi l'exil de Mahomet de La Mecque à Médine (l’hégire) fonde-t-il
l’ère musulmane ? Permet-il d’opérer la distinction entre les sourates
mecquoises et les sourates médinoises ? Peut-on reconstituer la
chronologie du Coran ?

Que sait-on historiquement de Mahomet ? Ses appels au monothéisme, ses
annonces de la fin des temps et du jugement divin expliquent-ils son
exil de La Mecque à Médine ? Pourquoi cet événement, l’hégire,
fonde-t-il l’ère musulmane ? Permet-il d’opérer la distinction entre
les sourates mecquoises et les sourates médinoises ? Peut-on
reconstituer la chronologie du Coran ?

Pourquoi Jésus occupe-t-il une place exceptionnelle dans le Coran ? À
partir de cette question, les auteurs de Corpus Christi enquêtent sur
les origines et la genèse de l’islam auprès de vingt-six chercheurs du
monde entier.

(France, 2014, 52mn) ARTE F
==================================
Jésus et l’islam (5/7) - ARTE



Pourquoi Jésus occupe-t-il une place exceptionnelle dans le Coran ?
Les auteurs de "Corpus Christi" enquêtent sur les origines et la
genèse de l’islam auprès de vingt-six chercheurs du monde entier.
Cinquième volet : le Coran fait de nombreuses références à la Bible
hébraïque et aux textes chrétiens, notamment les évangiles apocryphes.
D’où Mahomet tirait-il ce savoir ?

Le Coran fait de nombreuses références à la Bible hébraïque et aux
textes chrétiens, notamment les évangiles apocryphes. D’où Mahomet
tirait-il ce savoir ? Avait-il un ou plusieurs informateurs, comme le
suggère le Coran ? Alors que la Tradition musulmane insiste sur le
contexte païen des débuts de l’islam, la présence de Jésus dans le
Coran est-elle la trace d’influences judéo-chrétiennes ?

Pourquoi Jésus occupe-t-il une place exceptionnelle dans le Coran ? À
partir de cette question, les auteurs de Corpus Christi enquêtent sur
les origines et la genèse de l’islam auprès de vingt-six chercheurs du
monde entier.

(France, 2014, 52mn) ARTE F
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